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Madame, Monsieur,
...je vous envoie une petite
documentation sur TRANSFORMATEUR dont je suis la contrebasse.
Transformateur. Pas caméléon
mais lépidoptère. Asticot, chrysalide, papillon, Transformateur c’est quatre
cinq sept musiciens, ou plus. Le chiffre dépend du porte-monnaie.
Randall Ayling guitares,
chant
Stéphane Ballouhey contrebasse
C’est le lépidoptère sans les ailes. L’asticot si vous
préférez. La musique est toute acoustique, tout à l’oreille. Guitare chant
contrebasse, chandelle sur la table et caresse dessous, musique
pour les ambiances réversibles.
Stéphane Foucher batterie
Randall Ayling guitares, chant
Benoît Baud saxophones
Stéphane Ballouhey contrebasse
-
Et vos funky rumba, vos trash sérénades… ça se danse ?
- Tirez les tables poussez les chaises, la groove machine fera le reste. Transformateur c’est du simili dancing, du plaqué baloche…
-
???
- Grattez un peu, prêtez
l’oreille et vous entendrez, Transformateur c’est truffé de musique, et pas de
la petite musique attention, de la musique pour les yeux fermés…
- !!!
-
De la musique pour les trompes d’eustache.
Le grand poète Stéphane
Mallarmé allait au concert le dimanche « par simple soucis
d’hygiène », pour se laver les oreilles de tous les maux de la semaine. Et
bien justement,
LE TRANSFORMATEUR NETTOIE TRÈS
BIEN.
Transformateur ravive les
couleurs, astique les ORL,
Transformateur adoucit, plie,
repasse.
Transformateur
vous dÉmÉnage.
Stéphane Foucher, Batteur majuscule, maître du rythme, se produit sur la scène
internationale avec des musiciens légendaires. Quand il montre les dents, que
ses pupilles glissent sous les paupières, ça veut dire que la sauce prend, que
l’orchestre roule plein régime. L’orchestre dont il est la luxueuse cylindrée.
MOTEUR
Benoît Baud, prodigieux altiste, joue lui
les yeux fermés. A Lyon, les musiciens du Collectif Polycarpe le surnomment
Bird.
OISEAU RARE
Randall Ayling défriche l’Harmonie et le
Chaos, invente des programmes informatiques pour, vénère G.F. Haëndel et Jimmy
Hendrix, transpose des pièces d’accordéon musette pour la guitare, chante le
blues — Brassens et Teegarden — comme pas deux, raconte Karl Popper, la
géométrie fractale et les blagues de papillotes. Randall nous intrigue.
MYSTÈRE AYLING
Et moi Stéphane Ballouhey, à la
croisée des images et des sons. Moitié contrebasse moitié cinéma (mon film
Angélus lundi 7 février vers minuit, l’émission Libre Court sur France 3).
Cinéma contrebasse — « sa danseuse », disent-ils.
VOUS DANSEZ ?…
TRANSFORMATEUR#4. Quatre musiciens...
Vous souhaitez plus
d’informations, n’hésitez pas à me contacter.
Cordialement.
Stéphane Ballouhey